Le tango est un rêve, parfois sulfureux, Louise Jallu est une rêveuse, déterminée aussi. La précision de son doigté et la couleur de son phrasé en témoignent autant que les remarquables musiciens qu’elle a choisis pour l’accompagner. Grégoire Letouvet au piano, Alexandre Perrot à la contrebasse et l’étonnant Mathias Lévy au violon. Si on peut écouter « Francesita » en boucle, c’est une chance de voir ce quartet sur scène, Louise Jallu jouant debout, le bandonéon appuyé sur un genou. Elle dirige, discrètement, cette célébration du tango dans la diversité de ses allures, de ses postures et de ses ruptures, les assauts et les larmes, la nostalgie et la conquête.
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